- Kyliana Ornisis-

Que dire en voyant cette jeune femme. Elle arbore ses vingt quatre années sans honte ni arrogance. Bien sur, dans son style vestimentaire et dans ses expressions, elle peut sembler plus vieille. Cela dépends des moments. Son visage est assez fin et légèrement dur. Ses yeux virent entre le bleu et le vert, selon le ciel et ses lèvres ne changent pas, rassurez vous, elles sont toujours d’un rouge pâle. Le plus souvent attachés, ses cheveux ont la couleur de la neige, temps actuel, il faut dire. Aussi, le fait de cette couleur, personne ne sait si il s’agit là d’une coloration ou d’une couleur naturelle. Lui demander ? Mais oui, j’suis bête. Je n’y avait pas pensé avant ._.. Elle garde cela secret la fourbe. Vous voulez la longueur ? Oh.. Ils descendent bien jusqu’à ses reins, voir plus. Elle n’a pas prit le temps de les mesurer..

Voila voila pour ce qui est de son visage. Ensuite. Coté vestimentaire, Kylian a toujours eu une préférence pour les tailleurs, costard un peu masculin qui « force le respect » on vas dire. De plus, elle ne porte pas de jupe, mais des pantalons de tailleurs qui évitent de se faire regarder de tout coté et facilite certaines courses poursuites dans rues ou couloirs. Puis c’est toujours mieux que ces buggys sans forme et classe. Ou bien ces mini départeurs qui vous arrive en dessous de la poitrine. Poitrine qui n’est pas inexistante chez notre jeune femme. Sans être proéminente, elle l’a caractérise bien de femme.

De taille moyenne, elle aime porter des talons qui résonnent dans les couloirs d’un secretariat ou d’un directeurs, qui annoncent son arrivée et ou tout le monde se retourne pour voir cette inconnue. Bien sur, Kyliana ne se répugne pas a utiliser son physique a la fois charmeur et intriguant, connaissant ses limites, elle sait ou s’arrêter. Il vaut mieux de nos jours, ce n’est pas le genre de passer sous le bureau pour augmenter son salaire.

Mais ca, c'était avant sa venue a Kazuhida. Son corps n'as pas changé, mais son style vestimentaire, si. A prèsent, elle porte très bien le kimono et autre vêtement traditionnaux. Le plus souvent sombre : Noir/rouge, par exemple.

Débutons la partie la plus intéressante de ce que vous avez sur votre écran. Comment est cette femme ? Qu’a-t-elle dans sa tête ? Un cerveau. Idiot.

D’une nature assez froide, elle n’en est pas pour autant méchante. Dans son travail, depuis toujours, elle aime les règles et la discipline. Ne l’exécutant pas tout le temps elle même, elle prends plaisir à l’appliquer sur les autres, quand l’envie lui vient. Assez souvent donc. Ensuite, elle est organisé et a toujours dans son sac à main, mis a part des gants de cuirs noir et des cigarettes -oui, elle fume.- un petit agenda simple mais utile. Rendez vous, sortie, numéros de téléphones.. Tout y est consigné. L’anarchie et la débandade n’est pas dans son vocabulaire. Surtout pour le post qu’elle vas avoir au sein du pensionnat. Il serait fortement mal vue qu’une personne de l’enseignement laisse les élèves, quelques qu’ils soient, faire ce que bon leurs semble. Inacceptable.

M’enfin, c’pas Cruella croisée avec un militaire, soyez raisonnable. Non, Kyliana sait s’amuser, prendre du bon temps, se détendre. Aimant boire de temps à autre, elle apprécie une sortie dans un bar, seule ou accompagnée par des collègues. Des élèves, qui sait… Mais chut. Son petit moment de plaisir, elle le passe à lire, allongée sur son lit ou adossé confortablement a son bureau, attendant quelques choses a faire. C’est toujours dans son sac que se trouve un livre de poche, un classique de la littérature ou encore un roman d’un jeune auteur encore peu connu. Par contre, bien que mordue de lettres, elle ne vous feras des références littéraires que très rarement. Non qu’elle ai honte de cette « passion », mais elle ne tient aucunement à l’étaler et à en faire une source de vantardise.

T’en veux un peu plus ? Vas voir ailleurs si j’y suis.

Il était une fois, quelques années en arrière. Non, Invité ne regarde pas derrière toi. Fermes les yeux et penses à une époque qui n’est plus aujourd’hui.

[-Interlude musical qui existe pas-]

« Si il y a la moindre fuite. Le moindre témoins. Vous en serez responsable. Vu ? »

Silence. Silence. Que dire de plus ? Une phrase, un ton clair et net, il n’y avait rien à redire. Il ne fallait rien redire. Vêtue d’un jean noir et d’une chemise bordeaux, ouverte sur un débardeur d’un vert éclatant, elle trônait sur des caisses de stockages en bois. Impérieux et classe ? Non. Mais elle n’en perdait pas moi son charisme et sa prestance. Tout le monde, dans la quinzaine de personnes qui se trouvait devant elle connaissaient son parcours et ses capacités. Et justement par le fait qu’elle était et est toujours une femme, on l’as craignait encore plus. Pourquoi n’avait-elle pas préféré les poupons et le point de croix au lieux d’aller dans la rues ? Aller dans les quartiers mal famés, se faire un nom auprès de tous, craintes auprès de tous et finir par avoir des gens sous ses ordres. Le pire ? Ou le meilleur, que sais-je, c’est qu’elle se faisait de l’argent sur tout ca, en plus de son travail qui n’as rien d’intéressant. Donc c’est dans un hangar qu’elle surplombait les autres sur son tas de caisses et donnait les directives pour la nuit. Elle faisait ca de plus en plus souvent, et y prenait gout.

Oh, vous vous demandez quel âge elle avait a cette époque ? 19ans. Jeune non ? Mais a cet âge là, a ce moment la, elle faisait plus et son physique à la fois si frêle mais qui frappait dur, précis et brièvement, personne s’en approchait. Personne ne faisait de blague sur son âge, son sexe, ses vêtements. Mais attention, ne pensait pas qu’elle en devenait orgueilleuse, le menton relevé et les yeux et les lèvres exprimant un « Tu vois, t’es uns sous merde toi, j’ai réussi, tu resteras dans la boue. ». Non. Aussi gentille, elle se sert de son ’importance’ pour aider des gens qui le méritent. Pas des ordures. Elle n’est pas aussi généreuse allons.

Un petit passage de son passé. Tu peut à présent regarder devant toi, Ikuto Tamaku. Je vais te raconter, ce qu’elle fait aujourd’hui, ce qu’elle est devenu. Pourquoi elle ici, dans un pensionnat. Intriguant ? Tu veux savoir ? Non ? Ne lis pas alors.

En premier lieu, elle avait finis par avoir le contrôle complet de sa ville. Ce n’était pas public, mais l’on sentait dans les vols et les agressions, une diminution nette et rapide. Elle ne prônait pas la violence gratuite. Sont truc, c’était de se faire de l’argent dans des transactions et des démonstrations de force ou elle participait parfois. Mais un jour, en se levant, elle se lassa de ce train de vie pour le moins dynamique. Il n’y avait personne pour la défier, pour remettre en cause sa présence en haut de cette hiérarchie de malfrat. Plus personne pour pimenter son travail. C’en était devenu assez chiant.

Elle n'avait plus rien à remporter, à exhiber. L'ennuis avait pris la place de l’exhalation de ses nuits. Dans un journal nocturne, un article était apparue. Un article assez intéressant, mais pour le moins étrange. " Kazuhida". Qu'était-ce ? Une ville, non, un village. Des agriculteurs ? Des habitants ? Des cha... Des chasseurs ? Ouh! interressant !! Très. Kyliana, très intéressé par ce village, ce nouveau contexte, quitta tout; Son travail, sa maison, direction cette région du japon.

Il n'y a pas grand choses a dire a propos de son arrivée. Elle fut simple, rapide, et chaleureuse. Là bas, elle ne connaissait personne. Personne ne savait qui elle est, qui elle était, ni qui elle seras. Une idée assez plaisante..

Voila, Kyliana mis ses réflexes, sa précision, et son agilité aux services des chasseurs, en les aidant.

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